Alors même que les COP visent à prendre des décisions environnementales afin d’atteindre des objectifs de lutte contre les changements climatiques, à nouveau, à l’instar des négociations du TTIP, le pilier économique s’impose en maître sur l’échiquier de la scène internationale. En effet, les puissants lobbies notamment des multinationales ont rythmé la partie, poussant vers un accord a minima : de grandes communications, des mesures en deçà des espérances et une absence totale de suivi des engagements des Etats, vidant cet accord d’une quelconque valeur juridiquement contraignante.